Atelier Energies et Santé - "Stratégies pour une santé optimale"

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Méfiez-vous du "Stress oxydant"
et des "radicaux libres"





car les Radicaux libres sont des prédateurs redoutables !

fleurs jaunes
Particules extrêmement agressives, dérivées de l'utilisation de l'oxygène, les radicaux libres ne sont pas tous néfastes, certains sont même indispensables à la vie. L’oxydation fait partie intégrante de nos mécanismes de défense et d’élimination des agents pathogènes que représentent les bactéries et les virus.

Mais lorsqu'ils sont en excès (et c'est pratiquement TOUJOURS le cas), ils deviennent particulièrement dangereux et provoquent l'oxydation, "la rouille" de notre organisme, et sont

l'une des principales causes du vieillissement prématuré.

Heureusement, les Antioxydants sont là pour nous en préserver, ils agissent comme des boucliers contre les excès des radicaux libres.




    En 1956, le Docteur Denham HARMAN, de l'Université du Nebraska, chimiste, biologiste et médecin, formula la théorie du vieillissement par les radicaux libres, théorie aujourd'hui unanimement acceptée par la communauté scientifique internationale.

    Le vieillissement du corps et un nombre incroyable de maladies sont directement occasionnés
    par le bombardement des cellules par les "Radicaux Libres".
    C'est le "stress oxydant".
    et les dégats qu'il cause sont presque toujours irréparables.



  • Lorsque vous appliquez une peinture protectrice sur une charpente métallique, c’est pour la protéger de la rouille car l’oxygène et ses dérivés risquent à terme de l’abîmer.
  • Lorsque le portail du jardin “grince”, c’est également la rouille, l’oxydation...
  • Lorsque vous coupez une pomme et que vous en laissez un morceau pour le manger plus tard, la surface coupée devient vite brunâtre... c'est aussi l’oxydation.
  • Et lorsque le beurre devient rance, c'est également l'oxydation.

    Mais il n’y a pas que le portail qui grince, nos articulations aussi ! Il n’y a pas que le portail qui s'écaille, notre peau aussi se ride et se désseche, quand il ne s’agit pas de notre mémoire ou de nos facultés d’adaptation qui s’érodent…

    Une expression populaire le dit clairement lorsque les articulations ont perdu de leur flexibilité : "je me sens rouillé, je suis rouillé, j'ai mal partout"...)

    Et c’est exactement ce qui se passe dans notre organisme si l'oxydation par les "Radicaux Libres"... n’est plus régulée par les antioxydants.


    Oui, mais c'est quoi un "radical libre" ?

    Sur le plan chimique, un "radical libre" est un fragment de molécule (un électron) hautement réactif et très instable, car isolé (échappé de sa "famille" atomique) et doté d'une charge électrique libre. Il réagit avec les molécules voisines pour se stabiliser, en agressant et chassant un autre électron, pour prendre sa place. L'électron évincé va faire immédiatement la même chose sur la molécule voisine, créant ainsi une réaction en chaîne (c'est un peu simplifié, mais c'est ainsi que ça se passe) pouvant atteindre des milliers de molécules. Ce genre de réaction en chaîne peut se propager très rapidement et s'appelle stress oxydant.

    En biologie, les radicaux libres, qui sont donc des dérivés réactifs de l'oxygène, sont produits naturellement par notre organisme, principalement par nos cellules, lors de la transformation des nutriments en énergie (métabolisme), et cette transformation ne peut s'opérer qu'en présence d'oxygène. Il s'agit d'une réaction dite d'oxydo-réduction par laquelle l'oxygène apporté par la respiration est utilisé pour oxyder les nutriments et obtenir de l'énergie.

    Mais ils peuvent aussi se former à la suite d’exposition permanente aux polluants, tels que la fumée de cigarette ou les gaz d’échappement. Les rayons ultraviolets, la radiation et l’inflammation peuvent être en cause, ainsi que certaines habitudes de vie, comme la pratique intense de sport d’endurance, la consommation excessive d’alcool ou le stress permanent.

    Très instables et très réactifs (leur durée de vie est de l'ordre du millionième de seconde), les radicaux libres cherchent à retrouver une stabilité en attirant les électrons de particules voisines, transformant celles-ci en radicaux libres à leur tour. Ainsi, pour récupérer l'électron qui leur manque, ils agressent tout ce qu'ils trouvent sur leur chemin : cellules, globules, protéines, microbes, etc. A plus grande échelle, ils attaquent notre peau, nos organes et notre ADN et seraient responsables du vieillissement de notre organisme, de l'affaiblissement de notre système immunitaire et d'un certain nombre de maladies graves.

    En fait nous vivons dans l'oxygène et grâce à l'oxygène dont nous avons absolument besoin. Mais l'oxygène est également (souvent) la cause de notre décès prématurè : On nomme ce phénomène le "paradoxe de l’oxygène" !


    Méfaits et bienfaits des "radicaux libres" ?

    Quel que soit notre âge, un excès de radicaux libres va induire, entretenir et faciliter toutes les pathologies chroniques : pathologies tissulaires, artérielles, certains diabètes, ou même dépressions, certains troubles articulaires ou autres pouvant conduire à des troubles neurologiques comme ceux de la maladie d’Alzheimer ou apparentés, maladie de Parkinson, pathologies infectieuses chroniques ou certains cancers.

    Qu’est-ce que l’oxydation cellulaire ?

    L'oxydation cellulaire, cest la modification structurelle et biochimique de toute structure, vivante ou non, exposée à l'air et à l'oxygène qu'il contient. Il en va de la pomme qui brunit, comme du portail en métal qui grince.

    Chacune des cellules de notre corps est composée d'un noyau, d'un plasma, d'une membrane, et d'un certain nombre de "mithocondries" qui sont comme de petits poumons de la cellule. La membrane est une barrière, un filtre, dont le rôle est de laisser entrer dans la cellule les nutriments, l'oxygène et les informations dont la cellule a impérativement besoin pour se développer et vivre, mais elle doit également empêcher d'entrer tous les éléments nocifs : toxines, virus, bactéries...

    Les radicaux libres agressent violemment et endommagent la membrane cellulaire, isolant la cellule, abimant les mithocondries, freinant l'entrée des nutriments et l'évacuation des déchets, ce qui amène peu à peu la mort lente de la cellule. Ils créent également des brèches irréparables dans les membranes.

    La cellule n'étant plus protégée, les agressions suivantes peuvent atteindre le noyau.

    Or le noyau contient l'ADN qui renferme le code génétique à partir duquel d'autres cellules seront fabriquées. Si l'ADN est endommagé, il peut donner naissance à des cellules légérement différentes. C'est le premier pas vers le cancer.

    On le sait aujourd’hui, les radicaux libres sont impliqués dans le vieillissement accéléré des cellules et l'apparition de nombreuses maladies dites "dégénératives" : cancer, athérosclérose, dégénérescence cérébrale, maladies inflammatoires, cataracte, et de nombreuses pathologies aigues :
    • toutes les maladies chroniques dites de dégénérescence comme
    • les maladies d’Alzheimer et de Parkinson ;
    • les maladies dites auto-immunes de la thyroïde (thyroïdites) ;
    • les arthrites chroniques ;
    • les maladies cardiovasculaires ;
    • la plupart des cancers ;
    • les maladies de l’œil et de la peau.
    • l’accélération du vieillissement.

    Mais le radicaux libres ne sont pas QUE des ennemis,

    ils nous sont également indispensables pour nous protéger contre les agent infectieux.

    Pour lutter contre les maladies, les blessures ou les infections qui nous agressent, notre système immunitaire va intervenir pour nous protéger. Pour cela, il fait appel au monoxyde d'azote, un puissant antioxydant qu'il utilise pour neutraliser les agents pathogènes.et les agents infectieux (virus, bactéries, "microbes") qui seront agressés, oxydés par les cellules actrices de l'immunité (nos globules blancs) qui vont les digérer (phénomène de phagocytose) puis les détruire. Mais ce processus d'oxydation génère aussi beaucoup de radicaux libres. Ainsi, plus on est malade, plus notre organisme produit de radicaux libres.

    Nous avons donc besoin de ce stress oxydatif pour nous défendre contre les agents infectieux, mais dans une certaine mesure, car lorsqu’il échappe à notre contrôle, il produira sur nous les mêmes effets pathologiques que sur un morceau de métal (le vieux portail qui grince) ou n’importe quel tissu biologique.

    C’est donc bien la production en excès des radicaux libres, ou espèces oxygénées activées (EOA) qui va accélérer notre vieillissement, le risque ou l’agressivité de certaines maladies.

    Pour bien vieillir et se prémunir des maladies, ce stress oxydant doit donc être contenu et régulé par l’action des antioxydants internes ainsi que par l’apport, extérieur, nutritionnel, en molécules antioxydantes apportées par l’alimentation, ou si besoin par des compléments alimentaires. Il faut ainsi veiller à équilibrer la balance entre oxydants et antioxydants, et maintenir l’équilibre entre les bienfaits et les méfaits du métabolisme de l’oxygène


    Comment éviter le plus possible l'oxydation ?

    Pour réduire les effets du stress oxydant,
    il faut, bien sûr, limiter en quantité et durée toutes les sources de radicaux libres.

    Les principales sources externes de radicaux libres sont :

    • Les expositions trop fortes aux rayonnements solaires (l’effet sera démultiplié en cas de neige, de reflet marin ou de vent). Bien que l’exposition régulière au soleil soit absolument nécessaire à la production par la peau de la vitamine D, l’excès dans le temps ou les "coups de soleil" sont à l’origine de graves cancers de la peau.

    • L’exposition aux radiations ionisantes, lorsque des examens radiologiques et scanners sont trop fréquemment répétés.

    • Les xénobiotiques : ce sont des molécules totalement étrangères à la nature telles les insecticides, pesticides, les herbicides, les métaux toxiques de l'environnement (plomb, cadmium, mercure, arsenic, aluminium).

    • Le tabac, la pollution de l’air (ozone, particules fines, dioxyde d’azote…)

    • La pollution domestique (désodorisants, moquettes, encens, bougies parfumées, etc…), les pesticides, les additifs industriels

    • les aliments trop cuits ou brûlés, le pain ou les viandes noircies voire carbonisées, contiennent également beaucoup de radicaux libres (surtout la cuisson au barbecue ou au grill ! ) qui débordent nos défenses antiradicalaires…

    • Certaines hormones, certains médicaments chimiothérapiques, ou leurs métabolites prescrits au long cours dans le traitement des infections, inflammations, cancers…

    • Les sports d'endurance en général, surtout s'ils sont pratiqués de manière intensive ou sur une longue durée comme le triathlon, le marathon, les courses cyclistes, exigent une consommation accrue d'oxygène pour produire l'énergie nécessaire à l'effort. Ils sont donc à l'origine d'une grande production de radicaux libres !

    • La mauvaise qualité de notre alimentation actuelle et le déficit en nutriments viennent achever le travail.

    • La mauvaise qualité de notre lieu de vie et lieu de travail (perturbations telluriques, circulation des énergies, champs électromagnétiques, et...).

    • Malheureusement, une partie importante de molécules nocives issues de l'industrie et de l'agriculture (perturbateurs endocriniens) se retrouve dans pratiquement toutes les eaux de surface et dans bon nombre de nappes phréatiques.

    • Et dans la société actuelle, la pollution électromagnétique provoquée par les ondes de nos téléphones portables, de nos ordinateurs, des installations électriques défectueuses, par les lignes à “Haute Tension”, et surtout par les antennes relais en 4G et bientôt en 5G - liste non limitative !!

      Il est donc TRES important de comprendre que les radicaux libres
      sont causés par toutes les actions impliquant l'oxygène :

      La respiration, la digestion et surtout les excès caloriques (ce qui explique les bienfaits de la "restriction calorique"), un grand nombre de réactions de métabolisme ou de défense de l'organisme, mais également par l'exposition excessive au soleil, les radiations de tous ordre (télé, ordinateurs, rayons x), la lumiére, la pollution, les métaux toxiques, l'abus d'alcool, le record revenant sans conteste à la cigarette.

      Or de nos jours, notre style de vie est extrêmement pénalisant :
      • nous fumons,
      • nous sommes trop, trop souvent, et trop longtemps, stressés,
      • nous nous agitons inutilement,
      • certains pratiquent un sport de façon trop intensive,
      • d'autres manquent complètement d'activité physique,
      • nous respirons un air pollué,
      • et trop souvent nous mangeons des aliments de mauvaise qualité souvent bourrés de pesticides…

      Tout cela conduit au débordement naturel de nos défenses antioxydantes appelées encore « défenses antiradicalaires ».



    Les antioxydants sont notre principale protection

      Les antioxydants sont des molécules qui ont pour fonction d'assurer la prévention, la protection et la régulation des excès de radicaux libres.

      Découverts à la fin du 19ème siècle, leur propriété est exploitée pour protéger les métaux de la corrosion (les peintures antirouille). On les utilise également comme conservateurs pour l'alimentation.

      Les antioxydants sont présents dans tout ce qui contient des caroténoïdes :
      • les bêta-carotènes, précurseurs de la vitamine A,
      • les vitamines A, C, E,
      • certains oligo-éléments (sélénium, manganèse, zinc essentiellement)
      • les polyphénols.
      • On les trouve naturellement dans les végétaux (fruits et légumes en particulier).
      • Les fruits rouges en contiennent beaucoup (canneberge, myrtille sauvage, cassis, mûre)
      • certains produits comme le vin rouge, le thé vert ou le chocolat.

    On en distingue habituellement deux classes

      correspondant à deux lignes de défense de l'organisme.

      • La première ligne de défense est constituée d’antioxydants endogènes essentiels à la composition et au métabolisme des systèmes enzymatiques de protection. Il existe dans l'organisme plus de 1400 enzymes répertoriées susceptibles de répondre à cette définition.

      • La seconde ligne de défense : les piégeurs de radicaux libres exogènes. En anglais, on traduit par "scavengers". Ce terme est passé dans le langage courant de la biochimie des radicaux libres.

      On distingue ici deux sous-classes :

      • Les piégeurs antiperoxydants exogènes ou "scavengers vrais" : ils s'attaquent directement à l'initialisation des cycles de peroxydation. Derrière ces appellations un peu barbares, on retrouve des éléments que nous connaissons tous. Ce sont essentiellement les vitamines C et E et la vitamine A de provenance végétale, c'est-à-dire les caroténoïdes ainsi que les flavonoïdes (vitamines P), que l’on trouve par exemple en forte concentration dans le zeste de citron.

      • Les piégeurs occasionnels et adjuvants : ils bloquent occasionnellement le métabolisme des radicaux libres au sein de certains tissus en jouant, par rapport aux cibles, le rôle de bouclier ou de paravent. Certains parmi eux ne vous sont certainement pas étrangers. On retrouve des acides aminés soufrés (cystéine, N-acétyl cystéine, qui est en outre le précurseur de l’un des plus importants antioxydants : le glutathion…)

        Également parmi ces piégeurs occasionnels, les acides aminés aromatiques (phénylalanine) indoliques (tryptophane) ou encore certains extraits organiques frais (cellules souches, acides nucléiques, ADN, ARN, certains extraits placentaires et embryonnaires à condition que toute présence de pollution ou de prions soit écartée…).


    Comment améliorer notre concentration en antioxydants ?

      Les radicaux libres sont inévitables, ils sont indissociables de la vie, et les dégâts qu'ils causent sont irréparables. Il est donc extrêmement important de se protéger constamment et le mieux possible contre ces particules agressives. Tous les êtres vivants subissent les agressions de ces terribles prédateurs, et ont cherché à s'en protéger car leur survie en dépendait.

      Les plantes en particulier, qui existent sur notre planète depuis 4 milliards d'années, et ne peuvent se déplacer pour éviter les rayons du soleil, ont développé avec le temps des substances antioxydantes extrêmement efficaces, et cela principalement dans les régions où le soleil est très intense (thym, romarin, herbes aromatiques...). Toutes ces substances, comme par exemple les carotènoïdes, le lycopène, les acides phénoliques, les flavonoïdes, les tanins, etc... sont surtout présents dans les colorants des végétaux et dans leur membrane extérieure (peau, pelure, etc.) qui regorgent de substances protectrices.

      Le thé vert, l'huile d'olive, le choux rouge, l'oignon, l'ail, les herbes de Provence sont parmi les meilleurs défenseurs "anti-radicalaires".

      Les antioxydants les plus connus devraient donc normalement être apportés par l’alimentation : vitamines C et E, caroténoïdes, polyphénols du thé vert ou du cacao, glutathion, acides aminés soufrés comme la N-acétylcystéine. Nos enzymes antioxydantes qui régulent en permanence l’excès de radicaux libres ont besoin, pour être activées, de minéraux issus de l’alimentation comme le zinc, le cuivre, le manganèse pour la superoxyde dismutase, le fer pour la catalase, le sélénium pour la glutathion peroxydase. Ces antioxydants agissent comme des boucliers contre les excès des radicaux libres.

      La toute première démarche à faire consiste bien évidemment à privilégier la consommation intensive de ces légumes frais, fruits mûrs, et plantes aromatiques de qualité.
      Mais comme ce n'est pas toujours possible, que notre alimentation a perdu une grande partie de ses éléments nutritifs, et que le contrôle de la qualité est plus qu'incertain, la science moderne a extrait les principes actifs de ces plantes pour les mettre à notre disposition, sous forme de compléments nutritionnels.

      Il existe d'excellents compléments alimentaires et antioxydants très efficaces, mais attention, n'achetez pas n'importe quoi ! La plupart des compléments proposés en supermarchés (et même souvent en paharmacie) à des prix "économiques" ne sont pas de très bonne qualité, ne servent à rien et peuvent même être dangereux.

    L’acide alpha-lipoïque, un antioxydant particulièrement efficace :

      Depuis sa découverte dans les années 1930, l’acide alpha-lipoïque a fait l’objet de nombreux travaux de recherche. Les résultats de ces études ont mis en évidence un puissant effet antioxydant. Certains chercheurs l’ont d’ailleurs présenté comme l’un des antioxydants les plus puissants connus à ce jour. Il est souvent surnommé l’antioxydant universel.
      Son activité antioxydante est particulièrement intéressante pour lutter contre le stress oxydatif et les effets néfastes des radicaux libres, à l’origine du vieillissement cellulaire.
      En plus de cet effet protecteur, l’acide alpha-lipoïque a la particularité de pouvoir régénérer des antioxydants endogènes ; c’est-à-dire qu’il permet de renforcer l’activité antioxydante au sein de l’organisme en évitant la destruction de puissants antioxydants naturels dont la vitamine C et la vitamine E.

    La diététique :

      Incontournable ! Une des clefs pour éviter de « rouiller » trop vite, c’est d’essayer de corriger les déficits nutritionnels en antioxydants capteurs de radicaux libres par la diététique, la nutrition et la supplémentation nutritionnelle personnelle et spécifique qui peuvent nous aider à intervenir activement sur notre stress et nos défenses antioxydantes.

      Car quelques principes de base appliqués au quotidien, facilement, sans se ruiner, permettent de stimuler efficacement nos défenses contre les radicaux libres :

      • Privilégier tous les produits "bios", et principalement les fruits et légumes.
      • Choisissez des légumes et des fruits fortement colorés.
      • Ne manger que les fruits frais de saison et si possible cultivés à proximité.
      • Assaisonner avec un maximum d’épices comme le poivre, le gingembre, ou le curcuma.
      • Ne pas hésiter à rajouter dans sa salade ou dans une soupe confectionnée soi-même du persil, de la coriandre, de la sauge, de la menthe, des oignons et de l'ail, ainsi que divers épices.
      • Éviter de consommer des aliments de synthèse et ou industrialisés : plats cuisinés contenant trop de sels ou de graisses saturées, sodas, alcool fort, etc. qui sont tous des aliments oxydants.
      • Limitez à deux ou maximum trois fois par semaine la consommation de viande rouge, dont la digestion est particulièrement oxydante.
      • Et ne pas oublier que la seule boisson vraiment neutre et hydratante est l’eau de bonne qualité.

      Pour bien vieillir et se prémunir des maladies, le stress oxydant doit donc être contenu et régulé par l’action des antioxydants internes ainsi que par l’apport, extérieur, nutritionnel en molécules antioxydantes apportées par l’alimentation et / ou, si besoin par des compléments alimentaires spécifiques.
      Il faut ainsi veiller à équilibrer la balance entre oxydants et antioxydants, et maintenir l’équilibre entre les bienfaits et les méfaits du métabolisme de l’oxygène.




      Et pourtant, la Nature avait tout prévu : normalement ce “stress oxydatif” s’autorégule naturellement par le biais de notre production naturelle d’antioxydants.   Tant qu'il est en "bonne santé", notre corps fabrique en permanence un antioxydant extrêmement efficace, le Glutation "réduit".
      Malheureusement, notre "style de vie" actuel, la "malbouffe", le stress, la pollution, perturbent le bon fonctionnement de notre organisme et provoquent beaucoup de carences, et la conséquence est que notre protection contre l'oxydation n'est plus suffisante.   C’est pourquoi il est très important d'envisager une supplémentation sur mesure.




      TOUT LE MONDE devrait consommer tous les jours les antioxydants adaptés à ses besoins, c'est l'une des mesures les plus importantes pour le maintien de la santé, et pour l'anti-vieillissement.

      Mais ATTENTION, il peut être très dangereux de prendre une complémentation de manière improvisée et anarchique. Une supplémentation mal menée (hors de tout besoin personnel ou en excès) sera inefficace et peut même se révéler dangereuse. Car tout excès inapproprié d’antioxydants peut devenir, lui-même, pro-oxydant.

      Il est donc absolument recommandé
      de se faire conseiller par un professionnel de la santé formé en "nutrithérapie"...

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